Lorsque la séparation survient, elle amène habituellement avec elle son lot de douleur et de souffrance. Ce qui la rend si difficile est bien sûr, d’une part, la perte de l’être aimé, mais d’autre part, c’est cette lutte contre la souffrance, ce combat qu’on mène jusqu’à l’épuisement pour inhiber la douleur.

Souffrir, c’est ressentir des émotions difficiles comme la peine, la colère, la peur, le rejet, la trahison, etc. Résister à la souffrance de la séparation, c’est prolonger le deuil. Pour que le deuil se fasse, il faut accepter de passer au travers de ces émotions et d’y faire face.

La résistance ne fait que retarder le jour où tout ça sera derrière vous. Attention, accepter de souffrir, ça ne veut pas dire de se transformer en victime, de pleurer 24h par jour pour les 6 prochains mois.

Ça veut dire reconnaître ce qui se passe en vous, accueillir votre peine, être témoin de votre vulnérabilité. Ça veut dire lâcher prise, vous laisser envahir par votre souffrance comme une vague qui se jette sur le rivage, puis qui se retire, jusqu’à ce que la tempête se calme.

C’est faire une place en vous à cette souffrance, à apprendre à cohabiter avec elle tout en continuant d’avancer. C’est être capable de vous dire que la souffrance qui vous submerge présentement finira par s’estomper, un jour à la fois.

Ainsi, au lieu de brûler votre énergie à essayer de combattre quelque chose sur lequel vous n’avez pas de pouvoir (la souffrance), vous utiliserez cette énergie pour vous en sortir, pour gravir votre montagne. À chaque pas que vous ferez, vous laisserez un peu de cette souffrance derrière vous jusqu’à la guérison complète.

En fait, accepter la souffrance de la séparation, c’est amorcer la guérison. Lorsque vous ressentirez ces émotions difficiles, demandez-vous comment vous pouvez continuer à avancer avec elles à vos côtés. Soyez à l’écoute de votre souffrance et demandez-lui ce qu’elle a à vous apprendre.

En terminant, je vous laisse sur cette phrase d’impact : « Ce à quoi on résiste, persiste, ce à quoi on fait face, s’efface. »

Maintenant, il existe des solutions pour atténuer votre souffrance. Même s’il est souhaitable d’y faire face, il faut absolument éviter de l’alimenter. Si on veut que le feu s’éteigne, il faut arrêter de mettre des bûches dedans. J’ai des solutions à vous proposer pour éteindre votre souffrance.

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